17/03/2010 Kokrochung à Tshoka 4h15
Je passe une meilleure nuit en 3 fois deux heures, réveillé très tôt. Café noir, cuvette d’eau chaude, le petit déj, je me suis habitué au rituel. Il a gelé. Ciel bleu, le soleil apparaît vite sur le site. Je pars avec Nima à 7h15, les autres prendront un autre chemin par Dzongri, les dzos ne pouvant passer sur le chemin reliant directement Tshoka, je vais vite comprendre pourquoi.
Toujours dans les sapins et les rhododendrons pas fleuris ici, ça descend en balcon, sur une petite couche de neige. On traverse des torrents et des éboulis de terre verglacés, je fais remarquer à Nima que c’est bien plus dangereux ici que vers le Goeche La. Une glissade et rien ne pourra nous retenir sur la glace pentue. Traces de poules sauvages, de cervidés, les oiseaux se réveillent. On rejoint Phedang, la large prairie sous Dzongri, et on reprend en descente cette fois la piste pierrée et planchée pour Tshoka. Sunil et le cuistot nous rejoignent, puis le yak man et ses bêtes au cours d’un arrêt. On croise des trekkeurs qui ne saluent pas.
Toujours dans les sapins et les rhododendrons pas fleuris ici, ça descend en balcon, sur une petite couche de neige. On traverse des torrents et des éboulis de terre verglacés, je fais remarquer à Nima que c’est bien plus dangereux ici que vers le Goeche La. Une glissade et rien ne pourra nous retenir sur la glace pentue. Traces de poules sauvages, de cervidés, les oiseaux se réveillent. On rejoint Phedang, la large prairie sous Dzongri, et on reprend en descente cette fois la piste pierrée et planchée pour Tshoka. Sunil et le cuistot nous rejoignent, puis le yak man et ses bêtes au cours d’un arrêt. On croise des trekkeurs qui ne saluent pas.
Les Sikkimais se saluent d’une poignée de main quand ils se connaissent, échangeant parfois quelques mots. Sinon, ils se toisent mais ne se saluent pas. Il fait chaud maintenant, comme une journée d’été, quand on retrouve Tshoka à 11h30.
D’autres groupes arrivent à leur tour. Vers 16h, Nima, Sunil et moi montons à l’Himalayan café pour siffler quelques thongbas.
Il y a là aussi un Hollandais et un jeune couple suisse, dans une ambiance chaleureuse. Quand on ressort à la nuit, un peu éméchés, il vente et grêle. Quoique le refuge se soit un peu peuplé, j’ai à nouveau mon petit dortoir seul, où je prends un repas de fête, puis partage un bon gâteau avec l’équipe, terminant la soirée par des chants.
Il y a là aussi un Hollandais et un jeune couple suisse, dans une ambiance chaleureuse. Quand on ressort à la nuit, un peu éméchés, il vente et grêle. Quoique le refuge se soit un peu peuplé, j’ai à nouveau mon petit dortoir seul, où je prends un repas de fête, puis partage un bon gâteau avec l’équipe, terminant la soirée par des chants.
18/03/2010 Tshoka à Yuksom 4h
Je me réveille encore très tôt et vais regarder le soleil éclairer peu à peu le Pandim. Départ avec Nima à 7h30, le cuisto nous rattrape et fonce devant, prenant des raccourcis, suivi par Sunil. J’arrive seul à Yuksom à 11h30, les autres ont dû s’arrêter au hameau pour probablement boire un peu.
Je récupère mon vélo avec selle et guidon déplacés, un cale-pied cassé ! Le cuisinier de la maison de Limbu se serait amusé avec.
Je récupère mon sac dans l’après-midi. Après deux nuits à Yuksom, je vais reprendre le cours de mon voyage à vélo, pour quelque temps encore au Sikkim.
Je récupère mon vélo avec selle et guidon déplacés, un cale-pied cassé ! Le cuisinier de la maison de Limbu se serait amusé avec.
Je récupère mon sac dans l’après-midi. Après deux nuits à Yuksom, je vais reprendre le cours de mon voyage à vélo, pour quelque temps encore au Sikkim.
