De Banaue à Manille
Pas moyen de partir avant 7h, ils ne sont pas des «lève-tôt » à l’hôtel. Direction Bayombong, surprise, ça monte sur 7 km alors que je descends en plaine, sous un ciel tout bleu. Une végétation abondante et des collines cachent les paysages. Après ça descend bien sur Lagawe par une excellente route, avant de remonter à nouveau après un pont enjambant une large rivière servant de station de lavage pour bus, camions et tricycles, mais seulement sur 3 ou 4 km et je fonds sur la plaine, traversant la petite ville de Lamut en fête. Dans les rizières, des groupes de 10 à 15 personnes labourent ou repiquent. Solano, ville moderne, est un centre commercial régional, juste avant Bayombong où j’arrive vers 14h, au Sport City Hôtel, que je quitterai dans la soirée pour le Saber Inn, à cause d'un orchestre jouant juste sous ma chambre! Balade en ville, grand centre provincial doté de nombreux bâtiments administratifs et d’un grand parc, mais elle paraît un peu endormie comparée à l’effervescence habituelle des villes philippines.
Une route plate avec un petit vent de face me mène en 110 km à San José, par des rizières, vergers, quelques montagnes pelées. Ça circule pas mal, camions, jeepneys, quelques vans de touristes. Ça monte sur 4 ou 5 km après Santa Fe pour arriver à un col où je mange un tilapia/riz, avant de redescendre sur San José suivant une étroite rivière au fort courant qui fait le bonheur de baigneurs et de laveurs en tous genres. Des particuliers proposent du halo-halo en bord de route. Les chicas se trémoussent pour me faire la cour, « do you like a chick ? », elles ont 16/17 ans et seraient prêtes à partir avec moi. Assis sur une chaise à déguster ma boisson, elles me tournent autour en parlant de moi et en se marrant. Je loge à San José dans un Drive Inn, les chambres sont distribuées autour d’une grande cour/parking. La télé montre des films pornos sur une chaine interne, ils doivent avoir des chicks à « vendre ».
Entre San José et Cabanatuan, je roule dans une zone plus développée économiquement, usines, universités, centres d’essais de plantations…vers Munoz, Talavera. Je passe vers la bifurcation d’où part la route de Baler, ville isolée de la côte est où j’aimerais aller un jour, mais la presse a relaté ces jours-ci plusieurs crimes commis dans le coin. Il fait beaucoup plus chaud depuis que je suis en plaine, et je sue beaucoup.
Quoiqu’à 10h30 à Cabanatuan, je décide d’y faire étape au Plazza Amada au nord-est de la ville qu’on atteint par des pistes. A part l’énorme station de bus, il n’y a pas grand-chose à voir.
J’ai du mal à trouver la bonne route pour sortir de la ville. Je suis vite à Gapan où je prends la direction de San Fernando, sur une route moins large mais aussi fréquentée, et très peuplée.
Je pénètre dans San Fernando par une 4 voies bordée de centres commerciaux. Pas d’hôtel en vue, et en ville où je me fais klaxonner, j’en vois un seul peu engageant, je décide de continuer sur Balanga. Je trouille un peu sur la route à grande circulation, avec des camions roulant bien vite, jusqu’à l’embranchement pour Hermosa puis Balanga. Il y fait un peu plus frais, elle est bordée de marécages et le ciel s’est légèrement voilé. A 17h à Balanga, je retrouve la même chambre 14 à l’hôtel Alison, et le même mec qui me propose encore massage et filles ! Je préfère m’enfiler deux bières après ces 120 km assez stressants.
Une route plate avec un petit vent de face me mène en 110 km à San José, par des rizières, vergers, quelques montagnes pelées. Ça circule pas mal, camions, jeepneys, quelques vans de touristes. Ça monte sur 4 ou 5 km après Santa Fe pour arriver à un col où je mange un tilapia/riz, avant de redescendre sur San José suivant une étroite rivière au fort courant qui fait le bonheur de baigneurs et de laveurs en tous genres. Des particuliers proposent du halo-halo en bord de route. Les chicas se trémoussent pour me faire la cour, « do you like a chick ? », elles ont 16/17 ans et seraient prêtes à partir avec moi. Assis sur une chaise à déguster ma boisson, elles me tournent autour en parlant de moi et en se marrant. Je loge à San José dans un Drive Inn, les chambres sont distribuées autour d’une grande cour/parking. La télé montre des films pornos sur une chaine interne, ils doivent avoir des chicks à « vendre ».
Entre San José et Cabanatuan, je roule dans une zone plus développée économiquement, usines, universités, centres d’essais de plantations…vers Munoz, Talavera. Je passe vers la bifurcation d’où part la route de Baler, ville isolée de la côte est où j’aimerais aller un jour, mais la presse a relaté ces jours-ci plusieurs crimes commis dans le coin. Il fait beaucoup plus chaud depuis que je suis en plaine, et je sue beaucoup.
Quoiqu’à 10h30 à Cabanatuan, je décide d’y faire étape au Plazza Amada au nord-est de la ville qu’on atteint par des pistes. A part l’énorme station de bus, il n’y a pas grand-chose à voir.
J’ai du mal à trouver la bonne route pour sortir de la ville. Je suis vite à Gapan où je prends la direction de San Fernando, sur une route moins large mais aussi fréquentée, et très peuplée.
Je pénètre dans San Fernando par une 4 voies bordée de centres commerciaux. Pas d’hôtel en vue, et en ville où je me fais klaxonner, j’en vois un seul peu engageant, je décide de continuer sur Balanga. Je trouille un peu sur la route à grande circulation, avec des camions roulant bien vite, jusqu’à l’embranchement pour Hermosa puis Balanga. Il y fait un peu plus frais, elle est bordée de marécages et le ciel s’est légèrement voilé. A 17h à Balanga, je retrouve la même chambre 14 à l’hôtel Alison, et le même mec qui me propose encore massage et filles ! Je préfère m’enfiler deux bières après ces 120 km assez stressants.
itinéraire et résumé, Bataan, Zambalès et Pangasinan, Pangasinan, Ilocos, Ilocos Norte Cagayan, Cagayan, Kalinga1, Kalinga2, Kalionga randonnée, Buscalan, Ambuto Luplupa, Luplupa, Bontoc, Malingcong Sagada, Sagada1, Sagada2, Barlig, Banaue, Bangaan et Batad, Batad et Cambulo, Mayoyao, Hapao, Banaue à Manille1, Banaue à Manille2, galerie photos
